| Avertissement
pour les lecteurs fran�ais : L�crivain de ce site ne partage pas les id�es qui se trouvent dans les "Protocols", qui sont seulement publi�s ici comme exemple dune falsification grotesque dans lhistoire de la pers�cution du peuple juif. |
PROTOCOLLEN VAN ZION
PREMIER PROTOCOLE
Laissant de cot� toute phrasiologie. Nous parlerons bien franchement et discuterons le sens de chaque r�flexion, faisant ressortir, par des comparaisons et des d�ductions, des explications compl�tes. Nous exposerons, par ce moyen, la conception de notre politique, ainsi que celle des Go�m*. Il faut remarquer que le nombre des hommes aux instincts corrompus est plus grand que celui des gens aux instincts nobles. C'est pourquoi les meilleurs r�sultats s'obtiennent, dans le gouvernement du monde, en employant la violence et l'intimidation plut�t que les discussions acad�miques. Tout homme a soif du pouvoir: chacun aimerait � �tre un dictateur si seulement il le pouvait, et bien rares sont ceux qui ne consentiraient pas � sacrifier le bien-�tre d'autrui pour atteindre leurs buts personnels.
Le droit r�side dans la force
Qu'est-ce qui a contenu les sauvages b�tes de proie, que nous appelons hommes ? Par quoi ont-ils �t� gouvern�s jusqu'� ce jour ? Aux premi�res �poques de la vie sociale, ils �taient soumis � la force brutale et aveugle, puis il se soumirent � la loi, qui n'est, en r�alit�, que la m�me force masqu�e. Cette constatation me m�ne � d�duire que, de par la loi naturelle, le droit r�side dans la force.
Ce qui tue la vraie libert�
La libert� politique n'est pas un fait, mais une id�e. Cette id�e, il faut savoir comment l'appliquer quand il est n�cessaire, afin de la faire servir d'app�t pour attirer les forces de la foule � son parti, si ce parti a d�cid� d'usurper celles d'un rival. Le probl�me est simplifi� si ledit rival s'infecte d'id�es de libert�, de pr�tendu lib�ralisme et si, pour l'amour de telles id�es, il c�de une partie de son pouvoir.
Notre id�e va triompher de fa�on �vidente en ceci : les r�nes du Gouvernement �tant abandonn�es, il s'ensuivra, de la loi de la vie, qu'elles seront imm�diatement saisies par une nouvelle main, parce que la force aveugle de la foule ne peut exister un seul jour sans chef. Le nouveau Gouvernement ne fait que remplir la place de l'ancien que son lib�ralisme a affaibli.
L'or a d�truit la religion
L'anarchie nous livre les peuples
De nos jours, la puissance de l'or a supprim� celle des autorit�s lib�rales. Il fut un temps o� la religion gouvernait. L'id�e de libert� est irr�alisable, parce que personne ne sait en user avec discr�tion.
Il suffit de donner un instant � la foule le pouvoir de se gouverner elle-m�me pour qu'elle devienne, aussit�t, une cohue d�sorganis�e. D�s ce moment naissent des dissensions qui ne tardent pas � devenir des conflits sociaux ; les �tats sont mis en flammes et toute leur importance dispara�t. Q'un �tat soit �puis� par ses propres convulsions int�rieures, ou qu'il soit livr�, par les guerres civiles, � un ennemi �tranger, il peut, dans l'un et l'autre cas, �tre consid�r� comme d�finitivement d�truit, - il est en notre pouvoir.
L'or est entre nos mains
Le despotisme du capital, qui est enti�rement entre nos mains, tendra � cet �tat un brin de paille auquel il sera in�vitablement forc� de s'accrocher sous peine de tomber dans l'ab�me.
Pas de moralit� dans la lutte
Si, pour des motifs de lib�ralisme, quelqu'un �tait tent� de me faire remarquer que de semblables discussions sont immorales, je poserais cette question : - Pourquoi n'est-il pas immoral qu'un �tat qui a deux ennemis, l'un au dehors, l'autre au dedans, emploie, pour les combattre, des moyens diff�rents : plans secrets de d�fense, attaques nocturnes ou avec des forces sup�rieures ? Pourquoi, en effet, serait-il immoral que l'�tat employ�t de tels moyens contre celui qui ruine ses fondements et sa prosp�rit� ?
Il faut semer l'anarchie dans les masses
Un esprit logique et sens� peut-il esp�rer r�ussir � gouverner les foules par des arguments et des raisonnements, alors qu'il est possible que ces arguments et ces raisonnements soient contredits par d'autres arguments ? Si ridicules qu'ils puissent �tre, ils sont faits pour s�duire cette partie du peuple qui ne peut pas penser tr�s profond�ment, �tant enti�rement guid�e par des raisons mesquines, des habitudes, des conventions et des th�ories sentimentales. La population ignorante et non initi�e, ainsi que tous ceux qui se sont �lev�s de son sein, s'embarrasse dans les dissensions de partis qui entravent toute possibilit� d'entente, m�me sur une base d'arguments solides. Toute d�cision des masses d�pend d'une majorit� de hasard, pr�par�e d'avance, qui, dans son ignorance des secrets de la politique, prend des d�cisions absurdes, semant ainsi dans le Gouvernement les germes de l'anarchie.
Pas de morale en politique
La politique n'a rien de commun avec la morale. Un souverain gouvern� par la morale n'est pas un habile politique ; il n'est donc pas d'aplomb sur un tr�ne. Celui qui veut gouverner doit recourir � la ruse et � l'hypocrisie. En politique, les grandes qualit�s humaines d'honn�tet� et de sinc�rit� deviennent des vices et d�tr�nent un souverain plus immanquablement que son plus cruel ennemi. Ces qualit�s doivent �tre les attributs des pays non juifs, mais nous ne sommes aucunement oblig�s d'en faire nos guides.
Le droit et la force
Notre droit r�side dans la force. Le mot � droit � est une id�e abstraite qui ne repose sur rien. Il ne signifie pas autre chose que ceci : � Donnez-moi ce dont j'ai besoin pour prouver que je suis plus fort que vous �.
O� commence le � droit � ? O� finit-il ? Dans un �tat o� le pouvoir est mal organis�, o� les lois et la personne du souverain sont annihil�es dans un continuel empi�tement du lib�ralisme, j'adopte un nouveau syst�me d'attaque, me servant du droit de la force pour d�truire les ordonnances et r�glements existants, me saisir des lois, r�organiser les institutions et devenir ainsi le dictateur de ceux qui, de leur propre volont�, ont lib�ralement renonc� � leur puissance et nous l'ont conf�r�e.
L'invincibilit� de la jud�o-ma�onnerie
Notre force, �tant donn� la situation branlante des pouvoirs, sera plus grande qu'aucune autre, parce qu'elle sera invisible jusqu'au jour o� elle sera telle qu'aucune ruse ne la saurait miner.
Lib�ralisme destructeur
Du mal temporaire, auquel nous sommes actuellement oblig�s d'avoir recours, sortira le bienfait d'un gouvernement in�branlable qui r�tablira le cours du m�canisme de l'existence normale d�truit par le lib�ralisme. La fin justifie les moyens. Il faut, en dressant nos plans, que nous fassions plus attention � ce qui est n�cessaire et profitable qu'� ce qui est bon et moral.
Nous avons devant nous un plan sur lequel est tir�e une ligne strat�gique dont nous ne pouvons nous �carter sans d�truire loeuvre de si�cles entiers.
La foule est aveugle
Pour �laborer un plan d'action convenable, il faut se mettre en l'esprit la veulerie, l'instabilit� et le manque de pond�ration de la foule incapable de comprendre et de respecter les conditions de sa propre existence et de son bien-�tre. Il faut se rendre compte que la force de la foule est aveugle, d�pourvue de raison dans le discernement et qu'elle pr�te l'oreille tant�t � la droite, tant�t � la gauche. Si un aveugle conduit un autre aveugle, ils tombent tous deux dans le foss�. En cons�quence, les parvenus, sortis des rangs du peuple, fussent-ils des g�nies, ne peuvent pas se poser en chefs des masses sans ruiner la nation.
L'impuissance des partis
Seul un personnage �lev� pour exercer la souverainet� autocratique peut lire les mots form�s par les lettres de l'alphabet politique. Le peuple livr� � lui-m�me, c'est-�-dire � des chefs sortis des rangs, est ruin� par les querelles de partis qui naissent de la soif du pouvoir et des honneurs et qui cr�ent les troubles et le d�sordre.
Est-il possible � la masse de juger avec calme et d'administrer sans jalousie les affaires de l'�tat qu'il ne lui faudra pas confondre avec ses propres int�r�ts ? Peut-elle servir de d�fense contre un ennemi �tranger ? C'est impossible, car un plan, divis� en autant de parties qu'il y a de cerveaux dans la masse, perd sa valeur et devient inintelligible et inex�cutable.
Seul gouvernement possible : l'autocratie
Seul un autocrate peut concevoir de vastes projets et assigner � toute chose son r�le particulier dans le m�canisme de la machine gouvernementale. C'est pourquoi nous concluons qu'il est utile au bien-�tre du pays que son gouvernement soit entre les mains d'une seule personne responsable. Sans le despotisme absolu, pas de civilisation possible, car la civilisation ne peut avancer que sous la protection d'un chef, quel qu'il soit, pourvu qu'il ne soit pas entre les mains de la masse.
La foule est barbare et le prouve en toute occasion.
D�s que le peuple s'est asur� la libert�, il se h�te de la transformer en anarchie qui, par elle-m�me, est le comble de la barbarie.
Alcoolisme et corruption
Consid�rez ces brutes alcoolis�es stup�fi�es par la boisson, dont la libert� tol�re un usage illimit� ! Allons-nous nous permettre et permettre � nos semblables de les imiter ? Chez les chr�tiens, le peuple est abruti par l'alcool, la jeunesse est d�traqu�e par les classiques et la d�bauche pr�matur�e � laquelle l'ont incit�e nos agents : pr�cepteurs, domestiques, institutrices dans les maisons riches, employ�s, etc., nos femmes dans les lieux de plaisir ; j'ajoute � ces derni�res les soi-disant � femmes du monde �, - leurs imitatrices volontaires en mati�re de luxe et de corruption.
La force et l'hypocrisie
Notre devise doit �tre : � Tous les moyens de la force et de l'hypocrisie �.
Seule la force pure est victorieuse et politique, surtout quand elle se cache dans le talent indispensable aux hommes d'�tat. La violence doit �tre le principe, la ruse et l'hypocrisie la r�gle de ces gouvernements qui ne veulent pas d�poser leur couronne aux pieds des agents d'un nouveau pouvoir quelconque. Ce mal est le seul moyen d'arriver au bien. Ne nous laissons donc pas arr�ter par l'achat des consciences, l'imposture et la trahison, si par eux nous servons notre cause.
En politique, n'h�sitons pas � confisquer la propri�t�, si nous pouvons ainsi acqu�rir soumission et pouvoir.
La terreur
Notre �tat, suivant la voie des conqu�tes pacifiques, a le droit de substituer aux horreurs de la guerre des ex�cutions moins apparentes et plus exp�ditives qui sont n�cessaires pour maintenir la terreur et produire une soumission aveugle. Une s�v�rit� juste et implacable est le principal facteur de la puissance d'un �tat. Ce n'est pas simplement pour l'avantage qu'on peut en tirer, mais encore par l'amour du devoir et de la victoire que nous devons nous en tenir au programme de violence et d'hypocrisie. Nos principes sont aussi puissants que les moyens que nous employons pour les mettre � ex�cution. C'est pourquoi nous triompherons certainement, non seulement par ces moyens m�mes, mais par la s�v�rit� de nos doctrines, et nous rendrons tous les Gouvernements esclaves de notre Super-Gouvernement. Il suffira que l'on sache que nous sommes implacables quand il s'agit de briser la r�sistance.
� Libert�-�galit�-Fraternit� �
Nous f�mes les premiers, jadis, � crier au peuple : � Libert�, �galit�, Fraternit� �, ces mots si souvent r�p�t�s, depuis lors, par d'ignorants perroquets, venus en foule de tous les points du globe autour de cette enseigne. A force de les r�p�ter, ils ont priv� le monde de sa prosp�rit� et les individus de leur vraie libert� personnelle si bien prot�g�e nagu�re contre la populace qui voulait l'�touffer.
Les Gentils, soi-disant sages et intelligents, ne discern�rent pas combien �taient abstraits ces mots qu'ils pronon�aient et ne remarqu�rent point combien ils s'accordaient peu les uns avec les autres et m�me se contredisaient.
Ils ne virent pas qu'il n'est aucune �galit� dans la Nature qui cr�a elle-m�me des types divers et in�gaux d'intelligence, de caract�re et de capacit�. De m�me en est-il pour la soumission aux lois de la Nature. Ces pr�tendus sages n'ont pas devin� que la foule est une puissance aveugle et que les parvenus sortis de son sein pour gouverner sont �galement aveugles en politique ; ils n'ont pas compris davantage qu'un homme destin� � r�gner, f�t-il un imb�cile, peut gouverner, tandis qu'un autre qui n'a pas re�u l'�ducation voulue, f�t-il un g�nie, n'entendra rien � la politique.
Tout ceci a �chapp� aux Gentils.
Contre les r�gimes dynastiques
Ce fut sur cette base, cependant, que fut fond� le r�gime dynastique. Le p�re enseignait au fils le sens et le cours des �volutions politiques de telle mani�re que, sauf les seuls membres de la dynastie, personne n'en e�t connaissance et n'en p�t d�voiler les secrets au peuple gouvern�. Avec le temps, le sens des vrais enseignements, tels qu'ils avaient �t� transmis dans les dynasties, de g�n�ration en g�n�ration, se perdit, et cette perte contribua au succ�s de notre cause.
L'abolition des privil�ges
Notre appel � Libert�, �galit�, Fraternit� � amena dans nos rangs, des quatre coins du monde, gr�ce � nos agents inconscients, des l�gions enti�res qui port�rent nos banni�res avec extase. Pendant ce temps, ces mots, tels autant de vers rongeurs, d�voraient la prosp�rit� des chr�tiens, d�truisaient leur paix, leur fermet� et leur union, ruinant ainsi les fondements des �tats. Comme nous le verrons plus loin, ce fut cette action qui amena notre triomphe. Elle nous donna, entre autres choses, la possibilit� de jouer notre as d'atout : l'abolition des privil�ges, en d'autres termes, l'existence de l'aristocratie des Gentils, seule protection qu'avaient contre nous les nations et les pays.
L'aristocratie ploutocratique
Sur les ruines de l'aristocratie naturelle et h�r�ditaire, nous �lev�mes, en lui donnant des bases ploutocratiques, une aristocratie � nous. Nous l'�tabl�mes sur la richesse tenue sous notre contr�le et sur la science promue par nos savants.
Flatter les faiblesses et les passions
Notre triomphe fut facilit� par le fait que, gr�ce � nos relations avec des gens qui nous �taient indispensables, nous avons toujours appuy� sur les cordes les plus sensibles de l'esprit humain, exploitant le faible de nos victimes pour les b�n�fices, leurs convoitises, leur insatiabilit�, les besoins mat�riels de l'homme. Chacune de ces faiblesses, prise � part, est capable de d�truire toute initiative ; en les flattant, nous mettons la force de volont� du peuple � la merci de ceux qui voulaient le priver de cette initiative.
La libert� nous livre le pouvoir
Le caract�re abstrait du mot � Libert� � a permis de convaincre la populace que le Gouvernement n'est qu'un g�rant repr�sentant le propri�taire, c'est-�-dire la nation, et qu'on peut s'en d�barrasser comme d'une paire de gants us�s.
Le seul fait que les repr�sentants de la nation peuvent �tre d�pos�s les livra � notre pouvoir et mit pratiquement leur choix entre nos mains.
DEUXI�ME PROTOCOLE
N�cessit� des guerres �conomiques
Il est indispensable � nos desseins que les guerres n'am�nent aucune alt�ration territoriale. Dans ces conditions, toute guerre serait transf�r�e sur le terrain �conomique. Alors les nations reconna�tront notre sup�riorit� en voyant les services que nous rendons ; cet �tat de choses mettra les deux adversaires, tout sp�cialement form�s d�s la plus tendre enfance pour disposer de ressources absolument illimit�es. Alors nos droits internationaux balayeront les lois du monde entier et gouverneront les pays comme les gouvernements individuels leurs sujets.
Fonctionnaires serviles
Nous choisirons parmi le public des administrateurs aux tendances serviles. Ils seront inexp�riment�s dans l'art de gouverner. Nous les transformerons facilement en pions sur notre �chiquier o� ils seront mus par nos savants et sages conseillers, tout sp�cialement form�s d�s la plus tendre enfance pour le gouvernement du monde. Ainsi que vous le savez d�j�, ces hommes ont �tudi� cette science de gouverner d'apr�s nos plans politiques, l'exp�rience de l'Histoire et l'observation des �v�nements actuels. Les Gentils ne profitent pas des observations continuellement fournies par l'Histoire, mais ils s'en tiennent � une routine de th�orie, sans se pr�occuper des r�sultats qu'elle ne peut donner. Nous n'accorderons donc aucune importance aux Gentils. Qu'ils s'amusent jusqu'� ce que les temps soient accomplis ; qu'ils vivent dans l'esp�rance de nouveaux plaisirs, ou dans le souvenir des joies pass�es. Qu'ils croient que ces lois th�oriques que nous leur avons inspir�es sont d'une supr�me importance. Avec cette id�e en perspective et le concours de notre presse, nous augmenterons sans cesse leur confiance aveugle en ces lois. L'�lite intellectuelle des Gentils s'enorgueillira de sa science et, sans la v�rifier, la mettra en pratique telle que la lui auront pr�sent�e nos agents, pour former leurs esprits dans le sens voulu par nous.
Darwin, Marx, Nietzsche exploit�s par les Juifs
Ne croyez pas que nos assertions sont des mots en l'air. Consid�rez le succ�s de Darwin, Marx et Nietzsche, pr�par� par nous. L'effet d�moralisant des tendances de ces doctrines sur l'esprit des Gentils ne devrait certes pas nous �chapper.
Pouvoir d'adaptation
Pour ne pas risquer de commettre des fautes dans notre politique ou dans notre administration, il nous est essentiel d'�tudier et d'avoir bien pr�sents � l'esprit le courant actuel de la pens�e, le caract�re et les tendances des nations.
Le triomphe de notre th�orie est son adaptabilit� au temp�rament des nations avec lesquelles nous prenons contact. Elle ne peut r�ussir que si son application pratique repose sur l'exp�rience du pass�, jointe � l'observation du pr�sent.
La presse
La presse est, entre les mains des Gouvernements existants, une grande puissance par laquelle ils dominent l'esprit public. La presse r�v�le les r�clamations vitales de la populace, informe de ses sujets de plainte, et, parfois, cr�e le m�contentement. La libre parole est n�e de la presse. Mais les Gouvernements n'ont pas su tirer parti de cette force et elle tomba entre nos mains. Par la presse, nous acqu�mes l'influence, tout en restant dans la coulisse.
L'or et notre sang
Gr�ce � la presse, nous accumul�mes l'or, bien qu'il nous en co�t�t des flots de sang ; il nous en co�ta le sacrifice de bien des n�tres, mais chacun de nos sacrifices vaut, devant Dieu, des milliers de Gentils.
TROISI�ME PROTOCOLE
Le cercle du Serpent symbolique
Aujourd'hui, je puis vous assurer que nous ne sommes plus qu'� quelques pas de notre but. Encore une courte distance � franchir, et le cercle du Serpent symbolique - le signe de notre peuple - sera complet. Quand ce cercle sera ferm�, il entourera tous les �tats de l'Europe comme de cha�nes indestructibles.
Pour atteindre les chefs d'�tat
Bient�t s'�crouleront les �chafaudages qui existent actuellement, parce que nous leur faisons continuellement perdre l'�quilibre pour les user plus rapidement et les mettre hors de service. Les Gentils s'imaginaient qu'ils �taient suffisamment solides et que leur �quilibre serait durable. Mais les supports des �chafaudages - c'est-�-dire les chefs d'�tat - sont g�n�s par leurs serviteurs inutiles, entra�n�s qu'ils sont par cette force illimit�e de l'intrigue qui leur est propre et gr�ce � la terreur qui r�gne dans les palais.
N'ayant aucun moyen d'acc�s au cur de son peuple, le souverain ne peut se d�fendre des intrigants avides de pouvoir. Comme le pouvoir vigilant a �t� s�par� par nous de la force aveugle de la populace, tous deux ont perdu leur signification, parce qu'une fois s�par�s ils sont aussi impuissants qu'un aveugle sans son b�ton.
Opposer les partis
Afin d'inciter les amateurs de pouvoir � faire mauvais usage de leurs droits, nous avons dress� tous les pouvoirs les uns contre les autres en encourageant leurs tendances lib�rales vers l'ind�pendance. Nous avons favoris� toute entreprise dans ce sens ; nous avons mis des armes formidables aux mains de tous les partis et nous avons fait du pouvoir le but de toute notre ambition. Nous avons transform� les Gouvernements en ar�nes pour les guerres de partis.
Pour ruiner le pouvoir
Bient�t le d�sordre flagrant et la banqueroute appara�tront partout. D'incorrigibles bavards ont converti en parlottes les assembl�es parlementaires et administratives. D'audacieux journalistes et des pamphl�taires impudents attaquent continuellement les pouvoirs administratifs. Les abus de pouvoir pr�pareront d�finitivement l'effondrement de toutes les institutions, et tout tombera en ruines sous les coups de la populace en fureur.
Des droits fictifs pour les masses
Les gens sont asservis, � la sueur de leur front, dans la pauvret�, d'une mani�re plus formidable qu'au temps des lois du servage. De celui-ci, ils pouvaient se lib�rer d'une mani�re ou de l'autre, tandis que rien ne les affranchira de la tyrannie du besoin absolu. Nous avons eu soin d'ins�rer, dans les Constitutions, des droits qui sont pour la masse purement fictifs. Tous les soi-disant � droits du peuple � ne peuvent exister que sous forme d'id�es inapplicables en pratique.
Le pouvoir contre le peuple
Qu'importe � un ouvrier prol�taire, courb� en deux par un dur labeur et opprim� par son sort, qu'un bavard obtienne le droit de parler, ou un journaliste celui de publier une sottise quelconque ? A quoi sert une Constitution au prol�tariat s'il n'en retire d'autre avantage que les miettes que nous lui jetons de notre table, en �change de ses votes pour l'�lection de nos agents ? Les droits r�publicains sont une ironie pour le pauvre, car la n�cessit� du travail quotidien l'emp�che d'en retirer aucun avantage, et ils ne font que lui enlever la garantie de salaire fixe et assur�, le rendant d�pendant des gr�ves des patrons et des camarades.
Noblesse et profiteurs
Sous nos auspices, la populace extermina l'aristocratie qui, dans son int�r�t propre, avait pourvu aux besoins du peuple et l'avait d�fendu, car son int�r�t est ins�parale du bien-�tre de la populace. De nos jours, ayant d�truit les privil�ges de la noblesse, le peuple tombe sous le joug de profiteurs rus�s et de parvenus.
Protection aux communistes
Nous tenons � passer pour les lib�rateurs du travailleur, venus pour le d�livrer de cette oppression en lui sugg�rant d'entrer dans les rangs de nos arm�es de socialistes, d'anarchistes et de communistes. Nous prot�gerons toujours ces derniers, feignant de les aider par principe de fraternit� et d'int�r�t g�n�ral pour l'humanit�, �voqu� par notre Ma�onnerie socialiste. La noblesse qui, de droit, partageait le travail des classes laborieuses, avait tout int�r�t � ce qu'elles fussent bien nourries, saines et fortes.
Brimer le travailleur
Notre int�r�t veut, au contraire, la d�g�n�rescence des Gentils. Notre force consiste � maintenir le travailleur dans un �tat constant de besoin et d'impuissance, parce qu'ainsi nous l'assuj�tissons � notre volont� ; et dans son entourage, il ne trouvera jamais ni pouvoir ni �nergie pour se dresser contre nous.
Le droit de l'or
La faim conf�rera au Capital des droits plus puissants sur le travailleur que jamais le pouvoir l�gal du souverain n'en conf�ra � l'aristocratie.
Nous gouvernerons les masses en tirant parti des sentiments de jalousie et de haine allum�s par l'oppression et le besoin. Et, au moyen de ces sentiments, nous nous d�barrassons de ceux qui entravent notre marche.
D�truire les obstacles
Quand viendra pour nous le moment de couronner notre � Ma�tre du Monde �, nous veillerons � ce que, par les m�mes moyens - c'est-�-dire en nous servant de la populace - nous d�truisions tout ce qui serait un obstacle sur notre route.
L'enseignement. La science de la vie
Les Gentils ne sont plus longtemps capables de penser sans notre aide en mati�re de science. C'est pourquoi ils ne se rendent pas compte de la n�cessit� vitale de certaines choses que nous aurons soin de r�server pour le moment o� notre heure sera venue, � savoir que, dans les �coles, doit �tre enseign�e la seule vraie et la plus importante de toutes les sciences : la science de la vie de l'homme et celle des conditions sociales ; toutes deux exigent une division du travail et, par suite, la classification des gens en castes et en classes. Il est indispensable que chacun sache que la v�ritable �galit� ne peut exister, �tant donn� la diff�rence de nature des diverses sortes de travail, et que ceux qui agissent au d�triment de toute une caste, ont, devant la loi, une autre responsabilit� que ceux qui commettent un crime ne compromettant que leur honneur personnel.
L'organisation secr�te
La vraie science des conditions sociales, aux secrets de laquelle nous n'admettons pas les Gentils, convaincrait le monde que les m�tiers et le travail devraient �tre r�serv�s � des castes sp�ciales, afin de ne pas causer la souffrance humaine provenant d'une �ducation qui ne correspond pas au travail que les individus sont appel�s � accomplir. S'il �tudiait cette science, le peuple, de sa propre et libre volont�, se soumettrait aux pouvoirs r�gnants et aux classes gouvernementales class�es par eux. �tant donn� les conditions pr�sentes de la science et la ligne que nous lui avons permis de suivre, la populace, dans son ignorance, croit aveugl�ment tout ce qui est imprim� et les fallacieuses illusions d�ment inspir�es par nous, et elle est hostile � toutes les classes qu'elle croit au-dessus d'elle, car elle ne comprend pas l'importance de chaque caste.
Les crises �conomiques
Cette haine sera encore accrue par l'effet que produiront les crises �conomiques qui arrr�teront les march�s et la production. Nous cr�erons une crise �conomique universelle par tous les moyens d�tourn�s possibles et � l'aide de l'or qui est enti�rement entre nos mains. Simultan�ment, nous jetterons � la rue, dans toute l'Europe, des foules �normes d'ouvriers. Ces masses seront alors heureuses de se pr�cipiter sur ceux que, dans leur ignorance, elles ont jalous�s d�s l'enfance : elles r�pandront leur sang et pourront ensuite s'emparer de leurs biens.
Prot�ger les Juifs
On ne nous fera pas de mal, parce que le moment de l'attaque nous sera connu et que nous prendrons des mesures pour prot�ger nos int�r�ts.
Le lib�ralisme doit dispara�tre
Nous avons persuad� les Gentils que le lib�ralisme les conduirait au r�gne de la raison. Notre despotisme sera de cette nature, car il sera en situation d'abattre toute r�bellion et de supprimer, par une juste rigueur, toute id�e lib�rale dans toutes les Institutions.
La � grande � r�volution
Quand la populace s'aper�ut qu'au nom de la libert� on lui accordait toute esp�ce de droits, elle s'imagina �tre la ma�tresse et essaya de s'emparer du pouvoir. Naturellement, comme tout autre aveugle, la masse se heurta � d'innombrables obstacles. Alors, ne voulant pas retourner � l'ancien r�gime, elle d�posa sa puissance � nos pieds. Souvenez-vous de la R�volution fran�aise, que nous appelons � la Grande � ; les secrets de sa pr�paration, �tant loeuvre de nos mains, nous sont bien connus.
Le Roi-Despote
A partir de ce moment, nous avons conduit les nations de d�ception en d�ception, de sorte qu'elles en viennent � nous d�savouer en faveur du Roi-Despote issu du sang de Sion que nous pr�parons au monde.
Force internationale de la Juiverie
Actuellement, en tant que force internationale, nous sommes invuln�rables, parce que si un gouvernement des Gentils nous attaque, d'autres nous soutiennent. L'intense abjection des peuples chr�tiens favorise notre ind�pendance - soit qu'� genoux ils rampent devant le pouvoir, ou qu'ils soient sans piti� pour le faible, sans mis�ricorde pour les fautes et cl�ments pour les crimes ; soit qu'ils refusent de reconna�tre les contradictions de la libert� ; soit enfin qu'ils se montrent patients jusqu'au martyre dans leur indulgence pour la violence d'un audacieux despotisme.
De la part de leurs dictateurs actuels, Pr�sidents du Conseil et Ministres, ils supportent des abus pour le moindre desquels ils auraient assassin� vingt Rois.
�ducation fauss�e du peuple
Comment expliquer un tel �tat de choses ? Pourquoi les masses sont-elles si logiques dans leur conception des �v�nements ? Parce que les despotes persuadent le peuple, par l'interm�diaire de leurs agents, que, m�me s'ils faisaient un mauvais usage du pouvoir et portaient pr�judice � l'�tat, ce serait dans un but �lev�, c'est-�-dire en vue de la prosp�rit� du peuple pour la cause de la fraternit�, de l'union et de l'�galit� internationales.
Certes, ils ne leur disent pas qu'une telle unification ne peut �tre obtenue que sous notre domination. Aussi, voyons-nous la populace condamner l'innocent et acquitter le coupable, convaincue qu'elle peut toujours faire ce qui lui pla�t. En raison de cet �tat d'esprit, la foule d�truit tout �quilibre et cr�e partout le d�sordre.
La libert�
Le mot � libert� � met la soci�t� en conflit avec toutes les puissances, m�me avec celle de la Nature et avec celle de Dieu. C'est pourquoi, lorsque nous arriverons au pouvoir, ils nous faudra effacer le mot � libert� � du dictionnaire humain, comme �tant le symbole du pouvoir bestial qui transforme les hommes en animaux sanguinaires. Mais rappelons-nous que ces animaux s'endorment d�s qu'ils sont rassasi�s de sang et qu'il est facile alors de les charmer et de les asservir. Si on ne leur donne pas de sang, ils ne dormiront pas et se battront entre eux.
QUATRI�ME PROTOCOLE
L'�volution de la r�publique
Toute r�publique passe par diverses phases. La premi�re ressemble aux premiers jours de fureur d'un homme frapp� de c�cit�, qui balaye et d�truit tout � droite et � gauche. La seconde, c'est le r�gne du d�magogue faisant na�tre l'anarchie pour lui substituer le espotisme. Ce despotisme n'est pas officiellement l�gal et, partant, irresponsable ; il est cach� et invisible, tout en se laissant sentir ! Il est gn�ralement sous le contr�le de quelque organisation secr�te, qui agit derri�re un gent, ce qui la rend d'autant plus audacieuse et sans scrupule. Ce pouvoir secret n'h�sitera pas � changer ses agents qui le masquent. Ces changements seront profitables � l'organisation qui pourra ainsi se d�barrasser de vieux serviteurs auxquels il aurait fallu donner de plus importantes fratifictions pour leur long service.
L'action occulte des Loges
Par qui ou par quoi pourrait �tre d�tr�n� un pouvoir invisible ? Or, c'est l� justement ce qu'est notre Gouvernement. La Loge ma�onnique joue, inconsciemment, dans le monde entier, le r�le d'un masque qui cache notre but. Mais l'usage que nous allons faire de ce pouvoir dans notre plan d'action, et jusque dans nos quartiers g�n�raux, reste � jamais ignor� du monde en g�n�ral.
D�truire la foi en Dieu
La libert� pourrait �tre inoffensive et exister dans les gouvernements et les pays sans �tre pr�judiciable � la prosp�rit� du peuple, si elle reposait sur la religion et sur la crainte de Dieu, sur la fraternit� humaine, exempte d'id�es d'�galit� qui sont en opposition directe aux lois de la cr�ation lesquelle ont prescrit la soumission.
Gouvern� par une telle foi, le peuple serait sous la tutelle des paroisses et vivrait paisiblement et humblement sous la direction des pasteurs spirituels et soumis � la Providence divine sur cette terre. C'est pourquoi nous devons arracher de l'esprit des chr�tiens jusqu'� la conception m�me de Dieu et la remplacer par des calculs arithm�tiques et des besoins mat�riels.
Pour ruiner les Gentils - La sp�culation
Pour d�tourner l'ttention des Chr�tiens de notre politique, il est essentiel que nous l'arritions du c�t� du commerce et de l'industrie ; en sorte que toutes les nations luttant pour leurs int�r�ts propres ne s'occuperont pas, dans cette agitation universelle, de leur commun ennemi. Mais, pour que la libert� puisse disloquer et ruiner la vie sociale des Gentils, il faut que nous �tablissions le commerce sur une base sp�culative, ce qui aura pour r�sultat d'emp�cher les Gentils de retenir entre leurs mains les richesses tir�es de la production du sol ; par la sp�culation, elles passeront dans nos coffres.
La soif de l'or
La lutte pour la sup�riorit� et les sp�culations continuelles dans le monde des affaires cr�era une soci�t� d�moralis�e, �go�ste et sans cur. Cette soci�t� deviendra compl�tement indiff�rente � la religion et � la politique dont elle aura m�me le d�go�t. La passion de l'or sera son seul guide et elle fera tous ses efforts pour se procurer cet or qui, seul, peut lui assurer les plaisirs mat�riels dont elle a fait son v�ritable culte. Alors les classes inf�rieures se joindront � nous contre nos comp�titeurs - les Gentils privil�gi�s - sans all�guer aucun but �lev�, ou m�me l'amour des richesses, mais par pure haine des classes sup�rieures.
CINQUI�ME PROTOCOLE
Gouvernement despotique
Quelle sorte de gouvernement peut-on donner � des soci�t�s o� la concussion et la corruption ont p�n�tr� partout, o� les richesses ne peuvent s'acqu�rir que par d'astucieuses surprises ou par des moyens frauduleux, o� les querelles dominent continuellement, o� la morale doit �tre soutenue par le ch�timent et par de s�v�res lois et non par des principes volontairement accept�s ; o� les sentiments patriotiques et religieux se noient dans des convictions cosmopolites ?
Quelle autre forme de gouvernement peut-on donner � ces soci�t�s, si ce n'est la forme despotique que je vais vous d�crire ?
Nous voulons organiser un gouvernement central et fort, de fa�on � obtenir pour nous-m�mes les pouvoirs sociaux. Par de nouvelles lois, nous r�glerons la vie politique de nos sujets, comme s'ils �taient autant de rouages d'une machine. De telles lois restreindront graduellement la libert� et tous les provil�ges accord�s par les Gentils. Notre r�gne se d�veloppera ainsi en un despotisme si puissant qu'il pourra � tout moment et en tout lieu �craser les Gentils m�contents ou r�calcitrants.
On nous dira que la sorte de despotisme que je sugg�re ne s'accordera pas avec le progr�s actuel de la civilisation, mais je vais vous prouver le contraire.
Le pouvoir bas� sur la ruine de la religion
Au temps o� le peuple croyait au droit divin de ses souverains, il se soumettait paisiblement au despotisme de ses monarques. Mais, du jour o� nous inspir�mes � la populace la notion de ses propres droits, elle regarda les rois comme de simples mortels ; l'onction sacr�e disparut � ses yeux, et lorsque nous lui e�mes enlev� sa religion, le pouvoir fut jet� dans les rues comme propri�t� publique, et nous nous en empar�mes. De plus, parmi nos talents administratifs, nous comptons �galement celui de r�gir les masses et les individus au moyen d'une phras�ologie et de th�ories habilement construites, de r�gles de vie et de toutes sortes de stratag�mes. Toutes ces th�ories, auxquelles les Gentils ne comprennent rien, sont fond�es sur l'analyse et sur l'observation, combin�es avec un raisonnement si habile qu'il ne peut �tre �gal� par nos rivaux, pas plus que ceux-ci ne peuvent entrer en comp�tition avec nous dans la construction de plans d'action politique et de solidarit�. A notre connaissance, la seule soci�t� capable de lutter avec nous dans cette science serait celle des J�suites. Mais nous sommes parvenus � la discr�diter aux yeux de la foule stupide, comme �tant une organisation apparente, tandis que nous sommes rest�s dans la coulisse, tenant occulte notre organisation.
En outre, qu'est-ce que cela pourra bien faire au monde que celui qui doit devenir son ma�tre soit le chef de l'�glise catholique ou un despote du sang de Sion ? Mais � nous, le � peuple choisi �, la chose ne peut �tre indiff�rente.
D�sunion des peuples chr�tiens
Pendant un certain temps, les Gentils pourraient peut-�tre bien composer avec nous. Mais, sur ce point, nous ne courons aucun danger, �tant sauvegard�s par les profondes racines de leur haine mutuelle qui ne peuvent �tre extirp�es. Nous avons mis en d�saccord les uns avec les autres tous les int�r�ts personnels et nationaux des Gentils pendant pr�s de vingt si�cles, en y m�lant des pr�jug�s de religion et de tribu. De tout cela, il r�sulte que pas un seul gouvernement ne trouvera d'appui chez ses voisins lorsqu'il fera contre nous appel � leur aide, parce que chacun d'eux pensera qu'une action intent�e contre nous pourrait �tre d�sastreuse pour son existence individuelle. Nous sommes trop puissants - le monde doit compter avec nous. Les gouvernements ne peuvent m�me pas faire un trait� de peu d'importance sans que nous y soyons secr�tement impliqu�s.
Le � g�nie � du peuple �lu
� Per me reges regunt � (Que les rois r�gnent par moi).
Nous lisons, dans la � Loi des Proph�tes �, que nous avons �t� choisis pour gouverner la terre. Dieu nous donna le g�nie pour que nous puissions accomplir cette uvre. S'il se trouvait un g�nie dans le camp ennemi, il pourrait, cependant, nous combattre, mais un nouveau venu ne pourrait se mesurer � de vieux lutteurs de notre esp�ce, et le combat serait entre nous d'une nature si d�sesp�r�e que le monde n'en a encore jamais vu de semblable. Il est d�j� trop tard pour leur g�nie.
L'or, seule puissance gouvernementale
Tous les rouages du m�canisme de l'�tat sont mus par une force qui est entre nos mains, � savoir : l'or.
La science de l'�conomie politique, �labor�e par nos savants, a d�j� prouv� que la puissance du capital surpasse le prestige de la couronne.
Le monopole des affaires
Le capital, pour avoir le champ libre, doit obtenir le monopole de l'industrie et du commerce. Ceci est en voie d'�tre r�alis�, dans toutes les parties du monde, par une main invisible. Un tel privil�ge donnera un pouvoir politique aux industriels qui, s'enrichissant de profits excessifs, opprimeront le peuple.
De nos jours, il est plus important de d�sarmer le peuple que de le mener � la guerre. Il est plus important d'utiliser pour notre cause les passions br�lantes que de les �teindre, d'encourager les id�es des n�tres et de s'en servir pour nos desseins que de les �carter.
Le r�le de notre presse
Le probl�me essentiel de notre gouvernement est celui-ci : comment affaiblir la pens�e publique par la critique, comment lui faire perdre sa puissance de raisonnement, celle qui engendre l'opposition, et comment distraire l'esprit public par une phras�ologie d�pourvue de sens ?
� Discours �loquents �
De tout temps, les nations, comme les individus, ont pris les mots pour des actes. Satisfaits de ce qu'ils entendent, ils remarquent rarement si la promesse a vraiment �t� tenue. C'est pourquoi, dans le seul but de parader, nous organiserons des institutions dont les membres, par des discours �loquents, prouveront et glorifieront leur contribution au � progr�s �.
Nous nous donnerons une attitude lib�rale vis-�-vis de tous les partis et de toutes les tendances, et nous la communiquerons � tous nos orateurs. Ces orateurs seront si loquaces qu'ils fatigueront le peuple de leurs discours, � ce point qu'ils lui rendront tout genre d'�loquence insupportable.
et corruption de l'opinion publique
Pour s'assurer l'opinion publique, il faut, tout d'abord, l'embrouiller compl�tement en lui faisant entendre de tous c�t�s et de toutes mani�res des opinions contradictoires, jusqu'� ce que les Gentils soient perdus dans leur labyrinthe. Ils comprendront alors que le meilleur parti � prendre est de n'avoir aucune opinion en mati�re politique ; mati�re qui n'a pas �t� comprise du public, mais qui doit �tre exclusivement r�serv�e � ceux qui dirigent les affaires. Ceci est le premier secret.
Le second secret, n�cessaire au succ�s de notre gouvernement, consiste � multiplier � un tel degr� les fautes, les habitudes, les passions et les lois conventionnelles du pays que personne ne soit plus capable de penser clairement dans ce chaos ; les hommes cesseront ainsi de se comprendre les uns les autres.
Cette politique nous aidera �galement � semer des dissensions parmi tous les partis, � dissoudre toutes les puissantes collectivit�s et � d�courager toute initiative individuelle pouvant g�ner nos projets.
Contre toute initiative personnelle
Il n'est rien de plus dangereux que l'initiative personnelle : s'il y avait un cerveau par derri�re, elle pourrait nous faire plus de mal que les millions d'individus que nous avons mis aux prises.
Il nous faut diriger l'�ducation des soci�t�s chr�tiennes, de telle fa�on que, chaque fois que l'initiative est requise pour une entreprise, elles s'avouent d�sesp�r�ment vaincues. La tension produite par la libert� d'action perd de sa force d�s qu'elle se heurte � la libert� d'autrui ; de l�, les chocs moraux, les d�ceptions et les �checs.
Le Supergouvernement juif
Par tous ces moyens nous opprimerons tant les Chr�tiens qu'ils seront contraints de nous demander de les gouverner internationalement. D�s que nous aurons atteint une telle position, nous pourrons aussit�t absorber toutes les puissances gouvernementales du monde entier et former un supergouvernement universel. Nous remplacerons les gouvernements existants par un monstre que nous appellerons l'Administration du Supergouvernement. Ses mains s'�tendront au loin comme de longues tenailles et il aura � sa disposition une organisation telle qu'il ne pourra manquer de soumettre toutes les nations.
SIXI�ME PROTOCOLE
L'absorption des fortunes
Bient�t nous nous mettrons � organiser de grands monopoles - r�servoirs de richesses colossales dans lesquels entreront pr�cis�ment les grosses fortunes des Gentils, en sorte qu'elles sombreront ensemble, avec le cr�dit de leur gouvernement, le lendemain de la crise politique.
Que les �conomistes pr�sents parmi vous aujourd'hui mesurent seulement l'importance de ce dessein !
Nous devons employer toute esp�ce de moyens possibles pour d�velopper la popularit� de notre Supergouvernement, le pr�sentant comme le protecteur et le r�mun�rateur de tous ceux qui, volontairement, se soumettent � nous.
Ruiner l'aristocratie par les imp�ts
L'aristocratie des Gentils, comme puissance politique, n'est plus. Il est donc inutile de nous en occuper d�sormais � ce point de vue ; mais, comme propri�taires fonciers, les aristocrates sont encore dangereux pour nous, parce que leur ind�pendance est assur�e par leurs ressources. Il nous est donc indispensable de d�pouiller � tout prix l'aristocratie de ses terres. Pour arriver � ce but, la meilleu-re m�thode est d'�lever les imp�ts et les taxes. Cette m�thode maintiendra les revenus des biens fonciers au minimum. Les aristocrates Gentils qui, par les go�ts dont ils ont h�rit�, sont incapables de se contenter de peu, seront bient�t ruin�s.
Pour drainer toutes les richesses
Il faut qu'en m�me temps nous prot�gions le plus possible le commerce et l'industrie, et tout particuli�rement la sp�culation, dont le principal r�le est de servir de contrepoids � l'industrie.
Sans la sp�culation, l'industrie accro�trait les capitaux priv�s et tendrait � relever l'agriculture en affranchissant la terre de dettes et d'hypoth�ques avanc�es par les banques agricoles. Il est essentiel que l'industrie draine toutes les richesses de la terre et que la sp�culation verse entre nos mains ces m�mes richesses ainsi capt�es. Par ce moyen, tous les Gentils seront jet�s dans les rangs du prol�tariat. Alors, les Gentils se courberont devant nous pour obtenir le droit d'exister.
Encourager le luxe
Afin de ruiner l'industrie des Gentils et d'activer la sp�culation, nous encouragerons l'amour du luxe effr�n� que nous avons d�j� d�velopp�.
Salaires et � vie ch�re �
Nous augmenterons les salaires, ce qui ne soulagera pas les ouvriers, car, en m�me temps, nous �l�verons le prix des objets de premi�re n�cessit�, sous pr�texte de mauvaises r�coltes.
L'alcoolisme
Nous voulons aussi miner la production dans sa base en semant des germes d'anarchie parmi les ouvriers et en flattant leur go�t pour l'alcool. Nous emploierons, en m�me temps, tous les moyens possibles pour chasser de la terre toute l'intelligence des Gentils.
Fausses doctrines �conomiques
Pour que les Gentils ne se rendent pas pr�matur�ment compte de la v�ritable situation des affaires, nous la dissimulerons sous un d�sir apparent d'aider les classes ouvri�res dans la solution des grands probl�mes �conomiques, dont nos th�ories �conomiques facilitent la propagande de toutes les mani�res possibles.
SEPTI�ME PROTOCOLE
Les armements
L'intensification du service militaire et l'augmentation des forces de police sont essentielles � la r�alisation des plans ci-dessus mentionn�s. Il faut que nous arrangions les choses de fa�on qu'en dehors de nous il n'y ait dans tous les pays qu'un immense prol�tariat dont tous les individus seront autant de soldats et d'agents de police d�vou�s � notre cause.
Fomenter la lutte entre Nations
Dans toute l'Europe, et avec l'aide de l'Europe, sur les autres continents, nous devons exciter la s�dition, les dissensions et l'hostilit� mutuelle. Il y a � cela double avantage : d'abord nous commandons par ces moyens le respect de tous les pays qui savent bien que nous avons le pouvoir de cr�er les soul�vements � volont� ou de restaurer l'ordre. Tous les pays sont accoutum�s � recourir � nous quand la r�pression devient n�cessaire. En second lieu, nous embrouillerons, par des intrigues, tous les fils ourdis par nous dans les minist�res de tous les gouvernements, non seulement au moyen de notre politique, mais par des conventions commerciales et des obligations financi�res.
Pour atteindre ces fins, il nous faudra recourir � beaucoup de ruse et d'artifice pendant les n�gociations et les d�bats ; mais dans ce qui s'appelle le � langage officiel �, nous semblerons adopter la tactique oppos�e et para�trons honn�tes et conciliants. Ainsi, les gouvernements des Gentils, � qui nous avons appris � ne regarder que le c�t� brillant des affaires, telles que nous les leur pr�sentons, nous consid�reront m�me comme les bienfaiteurs et les sauveurs de l'humanit�.
Buts des guerres
Nous devons �tre � m�me de r�pondre � toute opposition par une d�claration de guerre du pays voisin de l'�tat qui ose se mettre en travers de notre route ; mais si ces voisins, � leur tour, devaient se d�cider � s'unir contre nous, il faudrait leur r�pondre en d�cha�nant une guerre mondiale.
L'art politique
En politique, le succ�s capital consiste dans le degr� de secret qu'on a su garder pour y atteindre. Les actes d'un diplomate ne doivent pas correspondre � ses paroles.
L'opinion publique
Pour favoriser notre plan mondial, qui est pr�s d'aboutir � ses fins d�sir�es, il nous faut influencer les gouvernements des Gentils par ce que l'on nomme l'opinion publique, pr�dispos�e par nous au moyen de la plus grande de toutes les puissances : la presse, qui, � part quelques insignifiantes exceptions, auxquelles il ne vaut pas la peine de s'arr�ter, est tout enti�re entre nos mains.
Bref, afin de d�montrer que tous les gouvernements des Gentils d'Europe nous sont asservis, nous manifesterons notre pouvoir � l'un d'eux, au moyen de crimes, de violences, c'est-�-dire par un r�gne de terreur, et, au cas o� ils se r�volteraient tous contre nous, nous r�pondrions avec les fusils am�ricains, chinois ou japonais.
HUITI�ME PROTOCOLE
Une fausse justice
Nous devons nous assurer tous les moyens dont nos ennemis pourraient se servir contre nous. Nous aurons recours aux expressions les plus obscures et les plus compliqu�es du dictionnaire de la loi, afin de nous justifier dans le cas o� nous serions oblig�s de prendre des d�cisions qui pourraient sembler trop hardies ou injustes. Car il sera important d'exprimer de telles d�cisions d'une mani�re si �nergique, qu'aux yeux du peuple elles puissent para�tre de nature excessivement morale, �quitable et juste.
Les auxiliaires du Juif
Notre gouvernement devra s'entourer de toutes les puissances de la civilisation au sein de laquelle il aura � agir. Il attirera � lui les publicistes, les avocats, les praticiens, les administrateurs, les diplomates, et, enfin, tous ceux que nous aurons form�s dans nos �coles sp�ciales modernistes.
But des �coles sp�ciales
Ces gens conna�tront les secrets de la vie sociale, ils seront ma�tres de toutes les langues rassembl�es dans le vocabulaire politique ; ils conna�tront � fond le c�t� int�rieur de la nature humaine avec toutes ses cordes les plus sensibles, sur lesquelles ils auront � jouer. Ces cordes constituent le cerveau des Gentils, leurs bonnes et leurs mauvaises qualit�s, leurs tendances et leurs vices, les particularit�s des castes et des classes. Il va sans dire que ces sages conseillers de notre puissance auxquels je fais allusion ne seront pas choisis parmi les Gentils, qui ont coutume de poursuivre leur travail administratif sans garder en vue les r�sultats qu'ils doivent obtenir et sans savoir pour quelle fin ces r�sultats sont requis. Les administrateurs des Gentils signent des papiers qu'ils ne lisent pas et servent pour l'amour de l'argent ou par ambition.
Professeurs d'�conomie
Nous entourerons notre gouvernement de toute une arm�e d'�conomistes. C'est la raison pour laquelle la science de l'�conomie est le principal sujet enseign� aux Juifs. Nous aurons autour de nous des milliers de banquiers, de n�gociants et, ce qui est plus important encore, de millionnaires, parce qu'en r�alit� l'argent d�cidera de tout.
Exploitation des gens tar�s
Cependant, tant qu'il ne sera pas s�r de remplir les postes de gouvernement par nos fr�res juifs, nous confierons ces postes importants � des gens dont les ant�c�dents et la r�putation sont si mauvais, qu'ils forment un ab�me entre eux et la nation, et � des hommes tels, qu'au cas o� ils enfreindraient nos ordres, ils pourraient s'attendre � �tre jug�s et emprisonn�s. Et tout ceci dans le but de les obliger � d�fendre nos int�r�ts jusqu'� leur dernier souffle.